Le Parti conservateur au pouvoir de la Grande-Bretagne a parlé avec enthousiasme de l’augmentation de la limite de vitesse à 80 mph ces derniers jours. Je me demande pourquoi.
Ce n’est pas comme si l’automobiliste typique (ou les enfants qui voyagent sur ses sièges de passager) étaient, dans le climat actuel, exigeant aux politiciens le droit de conduire ou de rouler à plus de vitesses sur notre réseau d’autoroutes troublé, où 70 mph, si vous Peut le faire, c’est beaucoup en vue de la pure densité du trafic. À bien y penser, je ne connais aucune personne automobile ou non-moteur, des groupes de pression ou des entreprises qui préconisent gravement des limites accrues à une époque où le nombre de véhicules par mile utilisable de l’autoroute britannique est parmi les plus élevés du monde occidental.
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Mais pour mettre cette suggestion «peut-être que nous l’augmenterons à 80 mph» du secrétaire aux Transports Grant Shapps en contexte, ce n’est pas nouveau. Les gouvernements conservateurs et travaillistes ont parfois flirté avec l’idée, généralement dans des tentatives cyniques bon marché de détourner l’attention des questions plus urgentes.
Cette fois-ci, le cri conservateur pour 80 mph n’a rien à voir avec la permission des automobilistes de voyager plus rapidement. Au lieu de cela, il s’agit de préparatifs pour un système routier à deux niveaux qui, si nous ne faisons pas attention, sera rapidement et grossièrement déversé sur nous d’une grande hauteur. Il s’agit d’une extension naturelle des idées de prix routier récemment proposées par le comité des transports.